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RuLIS – نظام معلومات سبل العيش الريفية RuLIS – Informatiesysteem voor plattelandslevensonderhoud RuLIS – Rural Livelihoods Information System

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RuLIS – نظام معلومات سبل العيش الريفية
RuLIS – Informatiesysteem voor plattelandslevensonderhoud
RuLIS – Rural Livelihoods Information System

L’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) est l’agence spécialisée des Nations Unies qui mène les efforts internationaux vers l’élimination de la faim. Notre objectif est d’atteindre la sécurité alimentaire pour tous et d’assurer un accès régulier et suffisant à une nourriture de bonne qualité permettant à tous, de mener une vie saine et active. Avec plus de 194 pays membres, la FAO travaille dans plus de 130 pays à travers le monde. Nous croyons que nous avons tous un rôle à jouer dans l’éradication de la faim.
Rejoignez-nous pour réaliser un monde #FaimZéro.
Note to the user
In order to ensure the greatest accuracy to the information provided, the Rural Livelihoods Information System (RuLIS) is undergoing further data revision and testing
The FAO Statistics Division, the World Bank and IFAD have joined forces to build RuLIS, as a tool to support policies for reducing rural poverty. Information on agricultural income and rural livelihoods is crucial for the formulation of evidence-based development policies.
In practice, RuLIS offers:
Ready-made indicators, computed from surveys
Bulk-download of standardized micro-variables (when micro-data are publicly available) and indicators
Ready-made macro level time series data
A tool to build customized indicators from surveys micro variables
Extensive technical material and documentation on how data was processed
Related papers and publications
RuLIS includes data and indicators from the following 64 surveys:
Albania – Living Standard Measurement Survey (2005)
Armenia – Integrated Living Conditions Survey (2010, 2013)
Bangladesh – Household Income-Expenditure Survey (2010)
Bolivia – Encuesta de los Hogares (2008)
Bulgaria – Multitopic Household Survey (2007)
Burkina Faso – Enquête Multisectorille Continue (2014/15)
Cambodia – Cambodia Socio-Economic Survey (2009)
Cameroon – Fourth Cameroon Household Survey (2014)
Côte d’Ivoire – Enquête Niveau de Vie des menages (2008)
Ecuador – Encuesta sobre Condiciones de Vida (2006, 2014)
Ethiopia – Ethiopia Socioeconomic Survey (2013/14, 2015/16)
Georgia – Integrated Household Survey (2013, 2014, 2015)
Ghana – Ghana Living Standards Survey (2012

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Directeur général QU Dongyu

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« Retour à l’accueil
Éliminer la faim d’ici à 2030 est un objectif «réalisable»

Rome/Wellington, le 19 août 2021 – Le monde peut de nouveau prétendre à éliminer la faim d’ici à 2030 «grâce à un juste équilibre des interventions», a déclaré aujourd’hui M. Qu Dongyu, Directeur général de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), lors de la sixième Réunion ministérielle de l’Organisation de coopération économique Asie-Pacifique (APEC) sur la sécurité alimentaire.
Dans un message vidéo, il a fait observer que la pandémie de covid-19 imposait des difficultés supplémentaires, mais qu’il serait tout de même «possible d’atteindre» l’objectif de développement durable 2 (ODD 2), à savoir éliminer la faim, soulignant qu’il fallait une «prise de conscience collective et immédiate».
M. Qu a mis en évidence les priorités stratégiques visant à enrayer la hausse de l’insécurité alimentaire.
«La croissance du secteur agricole, qui constitue l’un des secteurs les plus importants, permettra de réduire efficacement la pauvreté et la faim dans les pays dont le revenu se situe entre le niveau intermédiaire et le niveau faible», a déclaré le Directeur général.
«Garantir des investissements supplémentaires pour le secteur agricole, dans le cadre de stratégies de développement nationales et d’initiatives bilatérales et multilatérales, est essentiel et présente un coût raisonnable puisque cela correspond à près de 8 pour cent de la taille des marchés alimentaires du monde entier», a-t-il ajouté. M. Qu a vivement incité à cibler les pays qui en ont le plus besoin et à orienter les ressources vers des investissements «efficaces».
L’efficience – produire plus en mobilisant moins de ressources et en émettant moins de carbone – et l’innovation sont le meilleur, et souvent l’unique, moyen d’aller de l’avant, a-t-il souligné, notant que la FAO disposait d’outils de modélisation qui pouvaient aider les responsables politiques à gérer les ajustements qu’impliquerait la transformation des systèmes agroalimentaires.
Parmi les interventions appropriées, qui devront s’inscrire dans le cadre d’une approche holistique, le Directeur général a évoqué les mesures incitatives destinées aux consommateurs, la réaffectation des subventions à la recherche et au développement, les technologies numériques et les technologies vertes, les investissements visant à stimuler la chaîne de valeur, notamment à fournir des systèmes d’irrigation aux petits exploitants agricoles, à réduire les pertes et le gaspillage alimentaire, à maintenir l’ouverture du commerce international et à protéger les personnes les plus vulnérables à l’aide de filets de sécurité.
Il a affirmé que le Centre d’investissement de la FAO, un réseau qui rassemble des responsables mondiaux de l’investissement, était déterminé à appuyer les efforts visant à dépasser le stade du projet pour mettre en place les investissements et les politiques favorables nécessaires
M. Qu a souligné qu’il fallait absolument réfléchir et agir au-delà des frontières sectorielles. Les approches systémiques qui peuvent favoriser des solutions gagnant-gagnant comprennent les approches territoriales – par exemple, l’Initiative Main dans la main de la FAO – les approches écosystémiques, ainsi que celles qui permettent de renforcer l’autonomisation des femmes, de consolider les systèmes agroalimentaires des peuples autochtones et de faire face aux situations de crise prolongée.
Dans la perspective du Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires, qui se tiendra en 2021, «notre attention se porte sur la création de coalitions» capables de favoriser des solutions novatrices qui permettent de changer la donne et ainsi de surmonter les obstacles à la réalisation des ODD, a déclaré le Directeur général de la FAO.
Le rôle de l’APEC
M. Qu a exhorté les pays de l’APEC à prendre part à cette action et à la mener de front en se faisant les champions de la cause.
«La région de l’APEC a un rôle essentiel à jouer dans la mise en œuvre des actions concrètes nécessaires pour faciliter la transition vers des systèmes agroalimentaires plus efficaces, plus inclusifs, plus résilients et plus durables», a-t-il affirmé.
Créée en 1989, l’APEC œuvre pour faire en sorte que les biens, les services, les investissements et les personnes traversent facilement les frontières, promouvoir des normes communes et des systèmes réglementaires harmonisés et aider tous les habitants de la région à participer à l’économie en plein essor. Aujourd’hui, elle compte 21 membres répartis sur quatre continents, dont des puissances agroalimentaires comme l’Australie, la Chine, la Fédération de Russie et les États-Unis d’Amérique.
Le Directeur général de la FAO s’est exprimé à la sixième Réunion ministérielle de l’APEC sur la sécurité alimentaire, présidée par le Ministre néo-zélandais de l’agriculture, M. Damien O’Connor. Les ministres ont publié une déclaration conjointe et adopté une «Feuille de route pour la sécurité alimentaire à l’horizon 2030». Le discours intégral du Directeur général est disponible ici.

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